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Qui donc es-tu, morne et pale visage - de viktoriya Lobochkina (Author)

Details Qui donc es-tu, morne et pale visage

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Le Titre Du FichierQui donc es-tu, morne et pale visage
Date de publication
TraducteurTamila Eashan
Nombre de Pages243 Pages
La taille du fichier58.38 MB
LangueAnglais et Français
ÉditeurÉditions des Femmes
ISBN-100639379970-HJU
Format de eBookPDF AMZ ePub FB2 XML
Créateurviktoriya Lobochkina
Digital ISBN805-7474830399-QFK
Nom de FichierQui-donc-es-tu-morne-et-pale-visage.pdf

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Qui donc estu morne et pâle visage Sombre portrait vêtu de noir Que me veuxtu triste oiseau de passage Estce un vain rêve estce ma propre image Que j’aperçois dans ce miroir Qui donc estu spectre de ma jeunesse Pèlerin que rien n’a lassé Dismoi pourquoi je te trouve sans cesse Assis dans l’ombre où j’ai passé

Qui donc estu morne et pâle visage Sombre portrait vêtu de noir Que me veuxtu triste oiseau de passage Estce un vain rêve estce ma propre image Que japerçois dans ce miroir Qui donc estu spectre de ma jeunesse Pèlerin que rien na lassé Dismoi pourquoi je te trouve sans cesse Assis dans lombre où jai passé Qui donc estu visiteur solitaire Hôte assidu de mes

Titre de livre Qui donc estu morne et pale visage Auteur viktoriya Lobochkina Broché 1897 pages Date de sortie November 26 2018 Obtenez le livre Qui donc estu morne et pale visage par viktoriya Lobochkina au format PDF ou EPUB Vous pouvez lire des livres en ligne ou les enregistrer sur vos appareils Tous les livres sont disponibles au téléchargement sans avoir à dépenser de largent

Qui me ressemblait comme un frère Son visage était triste et beau A la lueur de mon flambeau Dans mon livre ouvert il vint lire Il pencha son front sur sa main Et resta jusqu’au lendemain Pensif avec un doux sourire Comme j’allais avoir quinze ans Je marchais un jour à pas lents Dans un bois sur une bruyère

Qui me faisaient trembler la main Larmes du coeur par le coeur dévorées Et que les yeux qui les avaient pleurées Ne reconnaîtront plus demain Jenveloppais dans un morceau de bure Ces ruines des jours heureux Je me disais quicibas ce qui dure Cest une mèche de cheveux Comme un plongeur dans une mer profonde Je me perdais dans tant doubli

Qui donc estu morne et pâle visage Sombre portrait vêtu de noir Que me veuxtu triste oiseau de passage Estce un vain rêve estce ma propre image Que j’aperçois dans ce miroir Qui donc estu spectre de ma jeunesse Pèlerin que rien n’a lassé Dismoi pourquoi je te trouve sans cesse Assis dans l’ombre où j’ai passé

Qui me ressemblait comme un frère Son visage était triste et beau À la lueur de mon flambeau Dans mon livre ouvert il vint lire Il pencha son front sur sa main Et resta jusqu’au lendemain Pensif avec un doux sourire Comme j’allais avoir quinze ans Je marchais un jour à pas lents Dans un bois sur une bruyère